jeudi 28 mars 2013

Pâtisserie Daniel Rebert, informations pratiques







Coordonnées:

Pâtisserie Daniel REBERT
7, Place du Marché aux Choux
67160 WISSEMBOURG
Tél : 03 - 88 - 94 - 01 - 66

Mail : patisserie@rebert.fr
 
Fermeture chaque lundi.
Horaire : 7h30-18h30, du mardi au vendredi.
   7h00-18h00, le samedi.
   8h00-18h00, le dimanche et jour férié.


Spécialités et création de Pâques : 


Retrouvez l'intégralité de ces spécialités, sur la page dédié du site de la Pâtisserie Daniel Rebert, en lien ICI

Moulages « le lapin dans tous ses états »
Tarifs : 7,40 € les 100g

Montages (Lapin Lanterne, Lapin Rêveur, Lapins Totem, Lapin Duo…)
Tarifs de 8,50 € à 17,00 €

Montages « l’œuf sous toutes ses formes et toutes ses matières»
Tarifs de 7,50 € à 29,50 €

Autre produits de Pâques :
Le grand lapin fourré praliné
7,00€

Petits œufs et fritures en chocolats lait, noir, ivoire, fourrés praliné maison 5,50€/100g

Des poules aux lapins fourrés praliné
De 0,90€ à 1,80€

Les silhouettes création de Guy Untereiner
5€ pièce
Le lapin à la hotte
Le lapin qui court



mercredi 27 mars 2013

Rencontre avec Daniel Rebert



Présentez-nous les moments marquants de votre parcours dans la profession.

Il y a un moment particulièrement fort dans cette vie professionnelle, c’est le vrai début, en 1986, quand j’ai repris l’entreprise paternelle. Ce passage de témoin, c’est le moment où je suis devenu chef d’entreprise et cela marque forcement une vie. Mon père n’était pas loin, mais il a tout de même quitté l’entreprise assez rapidement finalement. J’ai alors repris l’affaire avec une grande envie de la développer. A l’époque, nous étions une belle petite boulangerie de quartier, aujourd’hui, je suis particulièrement heureux de constater que nous avons un nom qui compte dans la profession, en Alsace, mais pas seulement.

L’année 1992 fut déterminante également, car c’est celle où j’ai intégré les « Etoiles d’Alsace », grâce à Fernand Mischler, mais, surtout, c’est cette année que nous avons participé aux Jeux Olympiques d’Albertville. Tous ensembles, nous avons tenu un restaurant gastronomique VIP et éphémère, à Val d’Isère, au pied de la descente olympique, la fameuse « face de Bellevarde ».
J’y suis allé avec toute mon équipe pour m’occuper des pâtisseries, et, pendant deux semaines, nous avons servi près de 15 000 couverts. Vous pourrez demander aux autres membres présents, ce fut un moment très fort pour chacun d’entre nous. C’était un tel défi que cela a vraiment resserré les liens de ceux qui ont vécu cette aventure.

Il y a eu aussi mon intronisation, en septembre 2001 aux « Relais Desserts ». J’ai eu la chance d’être accepté dans cette association, regroupant les plus grands noms mondiaux de la profession et prônant la « Haute Pâtisserie ». On se retrouve régulièrement et ce sont des moments vraiment très fructueux où, l’on échange nos idées, nos technicités propres. On se serre les coudes entre grands professionnels et on en retire toujours quelques idées nouvelles qui font la différence plus tard.
Cette saine émulation me ravit et me pousse sans cesse à vouloir faire partie des meilleurs.


En cette saison, quels sont vos produits et plats préférés ?

Là, maintenant, tout de suite, je mangerais bien une part de ma tarte Rhubarbe/Chiboust. Cette tarte, c’est le printemps qui arrive…Je l’apprécie particulièrement, car elle a tous les attraits et le peps de la tarte à la rhubarbe, avec ce petit côté acidulé, auquel on ajoute le plaisir entier de la crème Chiboust à la vanille. La Chiboust - très rarement travaillée dans la région - est une crème pâtissière très riche, que j’ai allégée au maximum avec des blancs d’œufs montés en neige.


mardi 26 mars 2013

Pâtisserie Daniel Rebert, compte rendu épicurien


Chez Daniel Rebert, à Wissembourg, tout a été pensé pour vous régaler !  De l’agencement de la boutique et des salons de thé aux meilleurs services possibles bien évidemment, mais plus encore dans chacun des détails entrant dans la création et la fabrication de ses très nombreuses tentations.

C’est quand il pense à son métier, à l’accumulation des astuces techniques et des adresses de micro-fournisseurs de matières premières extraordinaires, aux terroirs bien marqués, que son sourire gourmand s’étend et que son œil frise. Suivant ses conseils rayonnants et sa douce véhémence quand il évoque ses créations, nous nous précipitons sur quelques spécialités maison et sur d’autres délices chocolatés, bien de saison.   


Spécialités et créations chocolatées :

Quand le choix est cornélien à ce point, c’est toujours bon signe, mais il vous faudra prendre votre temps pour faire la bonne sélection pour Pâques, surtout quand on sait que la boutique est "coup-de-cœur" et a obtenu 4 tablettes (N°1 en Alsace) chez le très sérieux « club des croqueurs de chocolat » et quand le design des pièces, épuré mais tellement appétissant, met en valeur ses créations.






On craque alors devant le regard songeur de ce lapin rêveur, fidèle et incontournable de la boutique depuis des années, ou avec ce duo de lapins amoureux, qui n’attendent que d’être mangés.
La star de l’année reste ce montage moderne, ce lapin-totem, en forme de statue profilée, qui se partage entre chocolat au lait et chocolat noir.
Les moulages, plus traditionnels, sont néanmoins faits avec application, soit en chocolat Sohany lacté, soit en chocolat noir ou encore en « Dolce », tous sélectionnés comme les autres dans le haut de gamme du fameux fournisseur Valrhona. 

Mais pour patienter jusqu’à ces jours de fêtes familiales, on trompe l’attente avec d’impeccables noisettes au chocolat, venues spécialement du Piémont italien pour vous faire craquer, ou avec des fingers banane et chocolat noir. On commence aussi à piocher dans la boite de bonbons au chocolat, avec, entre autres, ce superbe « Rubis », très marqué en bouche par la framboise et qui est soutenu par le litchi, ou encore le « Earl Grey », très précis avec ses saveurs de thé bergamoté en fin de dégustation.  




lundi 25 mars 2013

Pâtisserie Daniel Rebert, mise en bouche

A la frontière entre l’Alsace et l’Allemagne, dans un pays de tendres vallons donnant leurs reliefs aux célèbres poteries des environs, Wissembourg, commune gourmande dont la Pâtisserie Daniel Rebert est le célèbre fleuron. 



Derrière sa fameuse façade style art-nouveau, son foisonnement de formes et de couleurs, se tiennent la boutique, les salons et le jardin, où tous les amateurs de bonheur et de volupté devraient un jour se retrouver…

Car si Daniel Rebert et sa femme Chantal sont reconnus à travers les cantons et les régions, ainsi que dans le pays voisin, pour leurs mille friandises, ils le sont également pour être les chantres des grands équilibres. 
Que ce soit pour les matières grasses, réduites à leurs plus nécessaires expressions, sans transiger pour autant sur le plaisir, ou pour l’énergie, la bonne, qui circule sans obstacle dans la maison, tous ces équilibres subtils se retrouvent jusque dans le plus évident des macarons.


vendredi 22 mars 2013

Pâtisserie Kieny, informations pratiques

Coordonnées:

Pâtisserie KIENY
3, Rue du Général de Gaulle
68400 RIEDISHEIM
Tél : 03 - 89 - 54 - 04 - 99

Mail :  : info@patisserie-kieny.com


Horaire : 7h30-12h30 / 14h-19h, du mardi au samedi (sauf samedi fermeture à 18h30).  
               7h30-14h, le dimanche.
Fermeture : lundi.


Spécialités et création de Pâques :

Moulage (lapins, poules, poissons… )
Tarifs de 2,90 € à 16,00 €

Montage (Bouboule, Moaï, Canette, Talon aiguille, Œufs de la sagesse, Marmite, Voiture…)
Tarifs de 5,40 € à 36,90 €

Œufs bonbonnières (garni de chocolats maison, petits œufs et fritures en chocolat)
Tarifs de 17,10 € à 56,80 €  


jeudi 21 mars 2013

Rencontre avec Laurent Kieny




Présentez-nous les moments marquants de votre parcours dans la profession.

Parmi les moments qui m’ont le plus marqué durant ma vie professionnelle, il y eut tout d’abord ces deux finales pour le concours de Meilleur Ouvrier de France, en 2007 et en 2011. J’ai échoué à la porte du titre suprême, autant la première fois je me suis rendu compte que je m’étais un peu loupé, en revanche pour la seconde, j’ai été grandement déçu, et je n’étais pas le seul ! (famille, amis et professionnels reconnus)
J’ai la grande fierté néanmoins d’être arrivé deux fois en finale (ce n’est pas donné à tout le monde), sortant la tête haute à chaque fois, et très fier de mon travail. Ces échecs ne sont pas très graves, l’expérience était passionnante malgré tout. J’ai beaucoup appris, non seulement, sur mon métier, mais également sur les personnes… On relativise… L’important c’est la famille et faire tourner son entreprise.

Mais le moment le plus fort, c’est évidemment la création de la boutique, en 1994, toutes les dernières réflexions qu’elle a générée, car nous avons du penser à tout, du sol au plafond, des recettes à l’emballage. Nous avons dû tout inventer, tout créer, tout penser et, comme pour tout entrepreneur, il y a ce moment où l’on signe l’emprunt, avec un nombre de zéros qui fait trembler. On a beau essayer de faire des prévisions raisonnables, quand on signe ce genre de document, c’est un grand moment, pas forcément agréable, mais qui fait grandir !

Bien sûr, pour tout cela, je remercie mes maîtres d’apprentissage, mais aussi et surtout mes parents, car ce sont eux qui m’ont donné le feu sacré et l’impulsion, et sans leurs cautions, morales et autres, cela aurait été encore beaucoup plus difficile de me mettre à mon propre compte.


mercredi 20 mars 2013

Pâtisserie Kieny, compte rendu épicurien

Ce pâtissier est passionné depuis l’enfance par son métier. Après un parcours marqué par de belles rencontres et quelques écoles d’excellence (Messieurs M.Stein à Mulhouse, L.Peltier à Paris, Ph.Segond MOF à Aix en Provence, A.Ducasse à Monaco), il ouvre sa propre boutique, il y a 20 ans, à Riedisheim, dans le giron familial, à côté du restaurant de son frère (qui  fera l’objet d’un article un peu plus tard).

Depuis, il n’a jamais arrêté de chercher de belles matières premières et de faire ses essais, avant de proposer des spécialités accomplies, comme autant de chocolats et de pâtisseries.




Aujourd’hui, il fait se déplacer la clientèle jusqu’à lui grâce à ses vitrines alléchantes, pleines de recettes scrupuleusement suivies et de ses créations originales, toujours tirées du registre classique, pour rassurer et satisfaire ses clients. Il aime à dire que l’on n’invente plus rien, mais que l’on accommode, transforme ou sublime les recettes de bases, pour faire passer ses émotions.


Spécialités et créations de saison

Pour Pâques, on nous propose évidemment les sempiternels moulages lapins et fritures, mais pas seulement ; ces stars sont à présent dépassées par de surprenants montages, comme cette année, des « bouboules » noir ou lait, ces quelques œufs pleins de sagesse, ces moaï de l’Ile de Pâques bien nommée pour l’occasion, mais aussi par ces canettes en chocolat ou par d’élégants talons aiguilles chocolatés, qui n’attendent que d’être remplis pour trouver papilles à leur pied.











Pour rester dans un monde chocolaté et d’ultime originalité, on peut choisir quelques œufs métallisés, mais aussi et surtout ceux faits à l’unité. En effet, durant cette période et en début de soirée, il en fabrique toujours un à la volée, avec ce qu’il a sous la main et dans la tête, pour en faire des pièces uniques et joyeusement extravagantes. 


mardi 19 mars 2013

Pâtisserie Kieny, mise en bouche


C’est à Riedisheim, dans cette agglomération satellite de la ville de Mulhouse et dans ce quartier pour grands-gourmands, que se révèle l’un des  meilleurs maîtres pâtissiers et chocolatiers de la région. Laurent Kieny est de ceux-là, et il suffit de jeter un œil à ses vitrines, d’entrer dans la boutique ou de le rencontrer pour s’en laisser convaincre.

Son don, sa technique et sa volonté, il les a entretenus depuis son enfance, et, dès l’âge de 9 ans, il a une certitude : il sera pâtissier (preuve à l’appui) ; dès lors, il n’aura de cesse de penser son métier et de se perfectionner.  


Aujourd’hui, chaque pièce est bien en place, tant et si bien que dans tous les coins et recoins de sa boutique, une nouvelle tentation sucrée cristallise nos envies. Et plus encore aujourd’hui, pour adoucir cet hiver qui n’en finit pas ou pour faire venir le printemps, et moins encore que demain, quand Pâques et ses désirs chocolatés vont finir de nous emporter.


vendredi 8 mars 2013

La Nouvelle Auberge, à Wihr-au-Val, informations pratiques

Coordonnées :

La Nouvelle Auberge
9, route Nationale
68230 Wihr-au-Val
Tél: 03 - 89 - 71 - 07 - 70

Fermeture: Dimanche soir, lundi et mardi toute la journée                            



Tarifs :

Menu : 36,80 € (menu 3 plats, avec choix pour l’entrée et le plat)
Menu : 49,80 € (menu 3 plats, avec choix)
Menu : 68 € (menu 4 plats + fromage, avec choix sur le plat, 88€ en accord mets et vins)
Menu : 78 € (menu 6 plats fixes)

Menu enfant : 8,50 € (menu au choix du gastronome)

Carte : 18 - 30 € (Entrées froides et chaudes)
            Selon arrivage (Poissons)
            31,50 - 33,60 € (Viandes)
              5,50 € (Fromages)
           11 - 12 € (Desserts) 

Formule Jeunes: 69 € (Formule Expression) 
(menu complet 5 plats, en accords mets et vins * )

Formules Seniors: 49 € (Formule Expression)
(menu complet 4 plats, en accords mets et vins * )

Retrouvez le compte rendu épicurien du Menu "Formule Jeunes – Expression" de fin février 2013. Chroniqué sur le Blog des Etoiles d'Alsace (en suivant le lien ICI)   

* Offre valable pour les moins de 35 ans ou plus de 60 ans, sur réservation uniquement)



jeudi 7 mars 2013

Rencontre avec Bernard Leray, de La Nouvelle Auberge



Présentez-nous les moments marquants de votre parcours dans la profession.

Ma première approche du métier a eu lieu à l’école hôtelière de Saint-Méen-Le-Grand, en Ille et Vilaine.
On est alors entre 1978 et 1980, dans une école toute neuve, et on était à peine une petite quarantaine d’élèves. La personne qui m’a marqué là-bas était l’ancien maître d’hôtel de Michel Kerever, à l’époque deux étoiles Michelin près de Rennes. Ce Monsieur m’a mis le premier guide Relais & Châteaux dans les mains, et tous les stages que l’on devait faire, il nous poussait à viser les grands restaurants et les Relais & Châteaux, et c’est là que j’ai commencé à m’imprégner de cette culture de l’excellence.

Ce chemin, je ne pourrais plus m’en détacher, qui plus est après ma rencontre avec un grand homme, à l’âge de 17 ans : Monsieur Bernard Loiseau. Je suis allé en stage chez lui à partir de 1981, et je suis revenu après l’armée pour y passer une nouvelle fois deux années. C’est lui qui a façonné une partie de mon goût, de mon palais. Cette rencontre était énorme pour moi à l’époque, et je m’en rends encore compte chaque jour aujourd’hui. C’est lui qui m’a donné la passion, l’envie, l’enthousiasme, la culture du produit…en fait, c’est lui qui m’a tout donné !

Le dernier moment marquant, incontestablement, c’est ma rencontre avec Martine. Ça  s’est passé chez Philippe Bohrer, avec qui j’avais travaillé chez Loiseau et chez qui j’ai ensuite passé un an, à la Ville de Lyon, son restaurant. On peut dire que c’est lui qui m’a présenté mon épouse.
Pour moi, une carrière de restaurateur ne s’envisage qu’à deux. Vous savez, dans ce métier, on reçoit tous les jours, deux fois par jour et, nous, on a toujours voulu garder cet esprit « comme à la maison », avec la même envie, la même attention pour nos clients que pour nos amis, notre famille. 


mercredi 6 mars 2013

La Nouvelle Auberge, en Formule Jeunes®, compte rendu épicurien

Une Auberge avec un A majuscule, sur la route de Munster, au cœur de la vallée et avec la vallée dans le cœur. C’est sur ce terrain que nous emmène Bernard Leray, et on se sent bien dans ce cadre rassurant et  naturellement convivial.
Alors, après ce superbe premier set d’amuse-bouche et pour accompagner la fin de cette originale  coupe de champagne, on nous dépose un verre rempli d’une très légère crème de marrons, que le Chef accompagne de quelques dés de pommes et d’un cromesqui de boudin noir impeccable. On a là tout ce qu’il nous faut pour affronter cette fin d’hiver en Vallée de Munster.





Entrée

Et cela ne fait que commencer, car la saison et la Vallée continuent d’être simplement magnifiées avec ce foie gras de canard chaud, à la cuisson exemplaire, posé sur un miroir de pomme. Il est servi avec un griespflütta très léger, presque aérien, fondant et blanc au cœur et bien grillé autour, sur lequel reposent d’autres pommes croquantes.

Mais c’est sur la précision de la cuisson de cette escalope de foie gras que l’on craque le plus: bien grillé,  le cœur est à peine réchauffé tout en étant uniformément cuit, l’ensemble est très agréablement débarrassé du gras superflu pour en faire une entrée gourmande et équilibrée. Surtout qu’au milieu de la dégustation, du bout du couteau on peut gratter le fond de l’assiette et on tombe en arrêt sur ce très beau caramel de pomme qui apporte le sucre qu’il faut, mais qui sait garder les saveurs et la touche de fraîcheur propres au fruit. On termine cette assiette en compilant le tout pour un plaisir certain.





Escalope de foie gras chaud de canard, griespflütta et pommes de saison


mardi 5 mars 2013

La Nouvelle Auberge, mise en bouche




Posée au bord de ce long axe très emprunté qui relie la ville à la nature, la plaine à la montagne, en passant par les vignes, il ne faut pas rater cette halte gourmande, cette Nouvelle Auberge où l’on a toujours eu grand plaisir à s’abriter et plus encore à s’attabler.



On entre ici comme dans une maison familiale, on emprunte le couloir qui nous mène vers cette élégante salle à manger, toute de bois vêtue, et on s’installe.
C’est étonnant alors, et très plaisant, de constater à quel point on se sent vite comme chez soi chez le Chef Bernard Leray.


vendredi 1 mars 2013

Auberge le Cheval Blanc, à Westhalten, informations pratiques



Coordonnées :

Auberge le Cheval Blanc
20, rue de Rouffach
68250 WESTHALTEN
Tél: 03 - 89 - 47 - 01 - 16

Fermeture: Lundi et Mardi, toute la journée.                                                  


Tarifs :

Menu « Au Bonheur du Marché » : 26 € (menu 3 plats + 1 boisson, avec choix, au déjeuner, du mercredi au samedi, sauf jours fériés, ainsi qu’au dîner le dimanche). 
Exemple de menu en lien ICI.

Menu maison : 38 € (menu 3 plats fixes)
Menu « Bien être ‘’Uberti’’ » : 45 € (menu 3 plats fixes, réalisé sans sel, avec les produits Uberti)
Menu « Plaisir » : 68 € (menu 4 plats fixes)
Menu « Gourmand » : 85 € (menu 5 plats fixes et fromages)

Menu enfant : 14 € (menu 3 plats adaptés pour les jeunes gastronomes)

Carte : 15 - 35 € (Entrées froides et chaudes)
            24 - 35 € (Poissons)
            21 - 78** € (Viandes,** pièce et tarif pour deux pers.)
              12 € (Fromages)
              12 € (Desserts) 

Formule Jeunes: 69 € (Formule Expression) 
(menu complet 4 plats et fromage, en accords mets et vins (*))

Formule Jeunes: 89 € (Formule Prestige) 
(menu complet 5 plats et fromage, en accords mets et vins (*))

Formules Seniors: 49 € (Formule Expression)
(menu complet 3 plats, en accords mets et vins (*))

Retrouvez le compte rendu épicurien de Menu "Formule Jeunes – Expression" de février 2013 
(en suivant le lien ICI) Chroniqué sur le Blog des Etoiles d'Alsace   

* Offre valable pour les moins de 35 ans ou plus de 60 ans, sur réservation uniquement)