vendredi 31 mai 2013

L'Agneau, informations pratiques




Coordonnées :

Hôtel Restaurant à l’Agneau
3, Rue de Saverne
67350 PFAFFENHOFFEN
Tél : 03 - 88 - 07 - 72 - 38

Fermeture : Lundi et Mardi toute la journée de juin à septembre et le dimanche soir en plus, d’octobre à mai.
Congés annuels : Du 16 au 23 juin et du 9 au 27 septembre 2013  


Tarifs :

Menu Express : 12 € (1 assiette du jour et 1 café gourmand)
Menu du Marché : 20 € (menu 3 plats du marché et ½ eau ; 9€ assiette du jour, 13€ entrée et plat)
Menu Tradition : 28 € (menu 3 plats fixes, choix entre fromage et dessert, 31 € avec un verre de vin)
Menu Saveurs : 36 € (menu 3 plats fixes)
Menu Plaisir : 56 € (menu 2 plats et dessert, au choix ; 66€ pour 3 plats et dessert, au choix ; 11 ou 16€ pour la formule « mets et vins » en supplément)

Menu Enfant : 10 € (1 plat et 1 dessert, jusqu’à 12 ans)

Carte : 16 - 25 € (Entrées froides)
            22 - 27 € (Poissons et entrées chaudes)
            23 - 27 € (Viandes)
               8 € (Fromages)
            7 - 10 € (Desserts) 

Retrouvez dans la rubrique « informations annexes », toutes les informations pratiques sur le « Jardin de l’Agneau », une cuisine fraîcheur et au feu de bois, plus simple, proposée dès les beaux jours sur la terrasse de l’établissement.

Formule Jeunes: 69 € (Formule Expression) 
(menu complet 5 plats, en accords mets et vins (*))

Formules Seniors: 49 € (Formule Expression)
(menu complet 3 plats, en accords mets et vins (*))

Retrouvez le compte rendu épicurien de Menu "Formule Jeunes – Expression" de fin mai 2013 (en suivant le lien ICI) Chroniqué sur le Blog des Etoiles d'Alsace.

* Offre valable pour les moins de 35 ans ou plus de 60 ans, sur réservation uniquement. Formule Séniors disponible uniquement le midi, sauf dimanche.




Extrait de la carte du moment :

Les Deux saveurs de Foie Gras Confit et Marbré, Pastilla de Rhubarbe.
La Tourtière Tiède de Veau et Pintade façon « Grand Véfour », Spoom de Céleri Piquant, Tartare de Betterave Rouge au Vinaigre de Framboises.

Le Dos de Bar aux Saveurs de Cédrat, Moelleux de Homard, Jus de Coques Crémées au Champagne.
Le Filet de Sandre Grillé, Beurre Blanc Léger à l’infusion de Genièvre, Embeurrée d’Herbes à Soupe et Chips de Speck.

Le Veau Décliné : Le Suprême en Basse Température et le Palet Croustillant de Pied et Jambonneau, Sabayon à la Moutarde, Raviole Frite de Charlotte.
Le Filet de Bœuf servi avec une Compote de Queue de Bœuf, Échalote au Pinot Noir et Râpée  de Pomme de Terre.

La Coque Meringuée dans l’Esprit d’un Vacherin, « Confiture de Vieux Garçon Kirschée ».
Le Millefeuille Minute aux Fraises, Chiboust Vanille et Sorbet.


Quelques plats signatures et grands classiques de la maison :

Les Plats et Menu Autour de la Truffe.
Le Foie Gras d'Oie et de Canard Confits.



Quelques conseils divers :

Salle agréable, soignée et climatisée pour la cuisine gastronomique.
Jardin fleuri et accueillant pour une cuisine et une carte aux saveurs d’été dès les beaux jours.
Petite salle privatisable pour les événements familiaux et professionnels.
Carte des vins très classique, tarifs particulièrement raisonnables.
La possibilité de vins aux verres à la demande.
Soirées à thème et autres dîners-spectacle et musicales tout au long de l’année. Renseignez-vous.
Plusieurs bons-cadeaux et forfait tout compris.
Accès handicapés assuré au restaurant.




Informations annexe :

Le Jardin de l’Agneau
Tables dressées dans le superbe jardin clos et fleuri de la maison, avec carte aux saveurs d’été, cuisine fraîcheur et feu de bois ; entrée 11-14 €, plat 14-23€, pizza, fougasse et tarte flambée 7,5-14€ le samedi et dimanche soir uniquement, dessert 7-13€. 
La carte gastronomique est également servie en soirée au jardin par beau temps ( du mercredi au vendredi).
  
Hôtel A l’Agneau, en lien direct ICI
(11 chambres classiques et confortables, au-dessus du restaurant. Bien équipées. Petit déjeuner avec confitures et viennoiseries maison. Jardin fleuri avec Grand jacuzzi. Massage disponible sur réservation. 65-77 € la nuit, 9-13 € le petit déjeuner, 77 € la soirée étape, demi-pension « classique » ou « gourmet » entre 67 et 98 € par pers.)


Autres articles intéressants trouvés sur le web :

Bel article et compte rendu d’un repas sur le Blog de Gilles Pudlowski, en lien ICI

Vidéo de l’émission « Grain de Sel », avec N.Rieffel et recette du Chef (saumon mi fumé, mi cuit lentement…) en lien ICI


Informations mises à jour fin Mai 2013

jeudi 30 mai 2013

Rencontre avec Anne Ernwein, du Restaurant L'Agneau, à Pfaffenhoffen


Présentez-nous les moments marquants de votre parcours dans la profession.

Le plus important de mes formateurs restera toujours Papa, c’est lui qui m’a transmis tout ce que je sais, qui m’a donné ce savoir-faire. Aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours adoré « bien manger », cela aussi c’est grâce à lui et j’ai des souvenirs en cuisine depuis l’âge de 3 ans ; mais c’est à 14 ans qu’il m’a véritablement prise sous son aile et m’a transmis, pendant une vingtaine d’années, toutes ses techniques et sa passion.

Ensuite j’ai eu l’honneur de passer chez de grands Chefs, comme Georges Blanc et Bernard Loiseau, entre autres, mais celui qui m’a le plus appris, et qui m’apprend toujours, c’est sans doute Joël Garault, chef du restaurant Le Vistamar, à l’Hôtel Hermitage de Monte Carlo. Depuis 1998, et encore de nos jours, dès que j’ai une semaine devant moi, je file dans sa brigade pour continuer à me former et à me perfectionner. Cet homme de partage et de transmission m’accueille toujours à bras ouvert, et j’aime apprendre à son contact dans cet environnement fabuleux.

Le dernier de ces moments inoubliables restera ma finale au concours du Meilleur Ouvrier de France en 2011, ce sont toujours des grands moments, pendant lesquels j’ai eu la chance d’être accompagnée par de grands professionnels comme messieurs Jung, Nasti et Klein. Cela m’a appris la rigueur et à ne pas avoir peur de dépasser mes propres limites. 


En cette saison, quels sont vos produits et plats préférés ?

Moi, j’adore les truffes et tous les produits de la mer, surtout les poissons nobles. Maintenant, pour les truffes, c’est terminé, par contre les langoustines arrivent à maturité.
Mais là, tout de suite, je craquerai bien pour un joli Saint-Pierre, que je travaillerai en papillote, pour amener le côté croustillant, mais aussi avec une autre cuisson plus confite, à l’huile de thym citronnée pour jouer sur les deux textures, je l’accompagnerai bien d’un lit de courgette. 



Donnez-nous un petit conseil de pros pour rendre notre cuisine de tous les jours meilleure.

J’ai une bonne astuce pour vous : le saumurage des poissons blancs à chairs fermes (cabillaud, lieu, dorade, bar etc…) pour rendre plus fermes les chairs et en préserver ce blanc immaculé et presque nacré d’un beau poisson à la juste cuisson.

Pour ce faire, il faut plonger votre filet de poisson dans un mélange très salé (100g de sel pour 1 litre d’eau), pendant vingt minutes environ, ensuite on le fait tremper dans un bain d’eau claire (sans sel donc, pour le rincer) pendant vingt minutes également et seulement ensuite on le cuit délicatement, côté peau en premier avant de le retourner et de l’arroser avec le jus de cuisson.   


Citez-nous un des jeunes employés de la maison dont vous êtes particulièrement fier.

J’ai envie de vous parler d’un ancien apprenti de papa, Claude Wolljung, qui, très vite, dans les années 90 si je ne m’abuse, est sorti Meilleur Apprenti d’Alsace. Dans mes souvenirs, il était vraiment très minutieux et impliqué dans la vie de la maison ; je me rappelle aussi de son grand calme, ce qui apporte beaucoup dans ce métier. Toute la famille était très fière, pour lui évidemment, mais aussi pour nous, car cela prouvait les qualités de formateur de mon père.
    

Avez-vous un souvenir, une anecdote à relater à la jeune génération de gastronomes ?

Sans hésiter, le plat qui m’a le plus marqué, c’est la première fois que j’ai mangé une volaille de Bresse demi-deuil. J’ai eu la chance de manger ce plat chez Loiseau, puis chez Bocuse ensuite et c’est toujours un grand moment de belle gourmandise : entre la tendresse de la chair de ces superbes volailles, la caresse de la truffe qui infuse le tout, sans oublier une belle sauce Albufera qui ajoute encore du plaisir, c’est vraiment sublime ! 
On adore tellement ça avec ma sœur, surtout avec de bonnes pâtes grand-mère et des petits croutons, que, désormais, c’est LE plat officiel de nos anniversaires, on arrive pas à en changer tellement on aime ce grand plat du répertoire classique.


mercredi 29 mai 2013

L'Agneau, en Formule Jeunes®, compte rendu épicurien


Cette maison de femmes accueille les gourmands de passage dans le nord de l’Alsace, avec générosité et douceur, elle leur propose une cuisine gastronomique en salle, ou, plus simple, dès les jours chauds, au jardin. Depuis 1769 cette histoire de famille se perpétue à Pfaffenhoffen, et, de nos jours, elles sont trois, mère et filles, qui vous couvent du regard et du geste.


Ils ne nous en fallait pas plus pour succomber, nous avons donc réservé la dernière des « formule jeunes® » de la saison pour découvrir cette table et cette famille Ernwein qui, visiblement, prend un grand plaisir à nous accueillir. 


Entrée

Ce menu débute par une entrée tout en finesse et en gourmandise, avec un œuf traité en cromesqui, posé dans l’ordre sur un lit de feuilles de truffe, de viande des « Grisons » et sur une pâte fine et friable. C’est étonnant de voir d’aussi belles melanosporum mais l’étonnement laisse vite place au plaisir des retrouvailles. 

On attaque alors la coque noisette, avant d’avoir délicatement versé trois petites gouttes d’une belle huile de truffe en son cœur, et on a la surprise de voir s’écouler un jaune d’œuf tiède associé à un beurre persillé. Le mariage du tout est très appétissant et goûteux et on plonge dans cette entrée avec délectation.

La Tartelette Fine au Carpaccio de "Grisons", Oeuf sans Coque Noisette, 
Râpée de Truffes et Asperges Vertes



Vins

Pour commencer simplement, on nous propose un verre de pinot gris bio 2011 de Wolfberger. Le vin est très fruité, facile, et sa rondeur se mariera bien avec les composantes du plat, qui plus est sur l’œuf et les truffes, ce qui nous surprend et nous réjouit en même temps.


Pour accompagner l’envolée épicée qui suit, nous partons vers la bourgogne, avec ce Beaune blanc « Les Monsnières » 2011 du lycée viticole de Beaune ; il a un nez vif et plus de  tension que l’Alsace le précédant. Il a surtout, à y regarder de plus près, toujours un peu de fleurs blanches et une petite rondeur qui lui permettra de bien se mélanger avec les ardeurs exotiques qui suivent.


Crustacé

Car du goût, de l’épice et des envies de voyage, il y en a dans cette assiette, et de la générosité aussi. Au milieu, on trouve une brochette avec deux langoustines rôties, posée sur une feuille de brick nourrie aux légumes confits, qui elle-même repose sur un tartare de tourteau  doucement épicé.


Le "Casse-Croûte" de Langoustines Rôties, Tourteau aux Légumes Croquants, 
Vinaigrette de Mangue, Infusion aux Epices Thaï


Mais le plus relevé se trouve dans le verre à gauche, d’où un bouillon thaï exhale des vapeurs d’Asie ; il a aussi le bon goût d’infuser doucement une gamba crue que l’on finit par déguster avec la fin du bouillon. A droite se trouve encore une gamba en tempura, retenue par une salsa croquante de papaye-mangue, toujours aussi asiatique. Ce plat nous emmène dans une véritable expédition, il est sacrément "pepsy" et il déborde d’envie. 


Poisson

Pour redescendre sur terre, quoi de meilleur que la mer, traitée plus classiquement. Ce plat, totalement dans la saison, est vraiment superbe de par la précision de la cuisson du poisson, absolument magnifié par elle. Le tronçon est nacré et s’effeuille du bout de la fourchette, il est surmonté de fèves et poireaux et repose sur de la pomme de terre écrasée, ciboulette ; il est également entouré d’un beurre blanc au citron-bergamote. L’agrume est très puissant et, en quelques zestes, il souligne, de son côté suave et piquant tout à la fois, ce plat qui est simple et pourtant très abouti.  




Le Filet de Lieu Jaune Confit à la Bergamote, Paysanne de Fèves, 
Beurre blanc au Citron de Menton



Vins

Le mariage parfait est trouvé entre ce poisson et un grand riesling signé du Domaine Pfister à Dahlenheim, un grand cru Engelberg 2005. Ce vin est vraiment superbe, avec de la race et une précision folle. Il développe sa pointe persistante d’agrume sur la sauce bergamote, et ses notes de lierre terrestre se renforcent au contact de la paysanne de fèves, poireaux et speck. L’accord est majeur !


Pour conduire l’agneau, on continue l’aller-retour avec la Bourgogne, avec ce vin rouge des Hautes-Côtes de Beaune 2011 du Domaine Nuiton-Beaunoy. Le vin révèle un nez de fruits mûrs, cerise, mûre, un léger soupçon poivré et réglissé. Les tanins sont fins et en bouche on a une longue finale fruitée qui va bien avec la finesse de l’agneau.


Viande

Cette viande est un nouveau plat total et complet, avec beaucoup de travail et d’envie de partager. L’agneau est bien évidemment la viande fétiche des femmes de la maison. 
Elle est cuite à basse température et farcie d’un mélange d’épinard, ail et pignon de pin, ce qui renforce encore sa présence. 


La Selle d'Agneau "Fleuriste", 
Couscous de Jeunes Légumes et Fruits Secs, Aux Parfums d'un Tajine


Elle est escortée par bien des choses avec lesquelles on s’amuse, comme, à la droite, ce samossa aux flanchets d’agneau, mais plus encore grâce à ce navet-navarin vraiment délicieux sur la gauche de l’assiette. Le bayaldi de légumes et la perle de pesto  complètent agréablement cette assiette. 


Dessert

Nous terminerons ce repas avec un dessert tout en fraîcheur, qui a le grand mérite de nous donner envie après ce grand menu. Grâce à sa couleur sans doute, qui nous réjouit, et ses fraises qui nous font toujours tellement envie ; le sorbet est très agréable et le finger-rose aussi, justement dosé. La coque blanche meringuée au fond de l’assiette est très fine aussi et apporte le sucre nécessaire pour parfaire le goût du fruit. La chantilly, maison évidemment, est épaisse comme il faut et, avec le jus et le coulis qui s’échappent du cylindre, elle prend le bon goût de la fraise, pour une dernière gourmandise.

La Variation Gourmande, Glacée et Crémeuse, 
autour de la Fraise

Dernière, dernière, c’était sans connaître la famille Ernwein, qui accompagne son infusion printanière – mélange d’herbes du jardin, églantier, cassis, rose - par un granité café intense et frais, une belle truffe au cru de Caraïbes très crémeuse et d’une barbapapa-tagada ludique.  


Ce sera le dernier service de ces femmes généreuses et rieuses, qui sont visiblement toujours aussi heureuses d’accueillir et de servir une clientèle de fidèles et de nouveaux clients qui aiment cette gastronomie décomplexée, où tout est fait pour vous régaler, par passion et en toute sincérité.

mardi 28 mai 2013

L'Agneau, mise en bouche


Au nord de l’Alsace et dans ce paysage qui vallonne à tout bout de champ, se trouvent Pfaffenhoffen et L’Agneau, cette belle table où la famille Ernwein accueille, avec douceur, les gourmands depuis bientôt 250 ans.

Au milieu des champs éclatants de jaune-colza et de vert-blé tendre, où se dressent les derniers échalas de houblon, la route monte et descend calmement et nous mène simplement vers cette grande maison de petite ville, agréable et patinée, où trois des femmes de la famille  régalent leur clientèle de leur bienveillance et de leur gentillesse. 


Depuis le départ du papa, c’est Gisèle, la maman, qui tient haut la barre, avec l’aide « plus-que-précieuse » de ses deux filles, Anne en cuisine et Viviane en salle. Désormais ce sont elles qui, avec évidence et naturel, donnent le tempo de cette adresse aux deux visages.

Forte de sept générations les précédant, l’art d’accueillir coule dans les veines de cette famille, partisane de l’art du bien-vivre. Ainsi, pendant la grande majorité de l’année, elles proposent, dans la salle, une cuisine gastronomique et appliquée qui a peu à envier aux étoilés, et, pour le plaisir, elles privilégient plutôt le jardin dès les beaux jours, avec une cuisine plus simple, une carte fraîcheur et des cuissons au feu de bois.



Mais, en ces jours de printemps, c’est par la grande porte que nous sommes venus découvrir cette adresse et nous n’avons pas résisté, une nouvelle et dernière fois avant cinq mois (retour des formules jeunes le 1er novembre), à goûter la « Formule Jeunes® » maison, composée essentiellement des plats phares de la carte.

Avec une coupe de champagne Montaudon, on nous apporte alors une assiette de frivolités, avec un tartare de betterave bien relevé par le vinaigre de framboise, un gaspacho classique très agréable, avec du croquant - concombre et céleri branche - et très bien parfumé par le poivron. Pour la fin de l’apéritif, on se garde le joli tartare de thon, avec coriandre et perles de wasabi, une nouvelle fois vraiment bien assaisonné, ce qui semble déjà être la signature de la cuisine d’Anne Ernwein et de cette adresse aux charmes féminins. 


 Pour s’en convaincre et nous régaler ensemble, je vous invite, pour la suite de ce menu, dès demain, à un compte rendu épicurien sur ce même Blog des Etoiles d’Alsace.    

vendredi 17 mai 2013

Le Parc****, informations pratiques




Coordonnées :

Le Parc****, Hôtel Restaurant & Spa
169, Route d’Ottrott
67210 OBERNAI
Tél : 03 - 88 - 95 - 50 - 08

Hôtel : Ouvert tous les jours, toute l’année en pleine saison (fin juin/début juillet & fin décembre/début janvier)

Fermeture de La Table: Dimanche soir, Lundi toute la journée, et les midis de semaine.


Tarifs Hôtel :

Chambre Standard (env 20m²) 
Chambre Executive (env 26m²) 
Chambre Deluxe Romantique (env 32m²) 
Suite junior et Suite Junior Duplex (env 39m²) 
Suite (env 53m²) 
Suite Alsacienne (60m²) 
Toutes les informations et photos en lien direct ICI.

Exemple de forfaits : (valables jusqu’au 30/11/13, toujours disponibles ensuite, renseignez-vous)

·         Coup de cœur 309 € pour deux personnes (1 nuit, chambre standard, apéritif, dîner 3 plats hors boissons, petit déjeuner « Live cuisine », accès au spa).
·         Coup de foudre 499 € pour deux personnes (1 nuit, chambre Deluxe Romantique, apéritif, menu dégustation 5 plats, boissons, eau, vins en harmonie, café, petit déjeuner « Live Cuisine », accès au spa).


Retrouvez le compte rendu épicurien de l’hôtel au printemps 2013 (en suivant le lien ICI
Chroniqué sur le Blog des Etoiles d'Alsace.   

Retrouvez le compte rendu épicurien d’un petit déjeuner « Live Cuisine » de Mars 2013 (en suivant le lien ICI). Chroniqué sur le Blog d’Epicure.
Le même article, en anglais, en lien ICI sur le portail américain Webflakes.   


jeudi 16 mai 2013

Le Parc****, à La Table, compte rendu épicurien

Tous ces jolis moments vécus sur le bord de la route des vins d’Alsace, au centre d’Obernai et dans l’hôtel du Parc****, nous ont mis en appétit *, et cela tombe bien, La Table gastronomique nous attend, et elle est aussi signée Wucher.

Quand on s’apprête à se faire plaisir au restaurant, rien de tel que de séjourner sur place, dans les meilleures conditions possibles, et c’est bien ce qui est proposé aux clients de cet hôtel & spa de haute qualité, alors passons à table.



Nous arrivons alors sous les boiseries claires et sur l’épaisse moquette framboise de la grande salle, toujours sous le regard bienveillant et attentif de Jean-Noël Graff, un autre des piliers de la maison. On y entre surtout pour profiter d’une cuisine résolument de saison et de ce menu-dégustation de printemps.  


Entrée

Le repas débute justement par une évidence de saison en Alsace : les asperges. Pour commencer ça sera les vertes, qui sont ici traitées de manière originale, car elles nourrissent et donnent de la couleur à une terrine de foie gras. En plus de l’égayer, elles l’équilibrent et apportent un côté printanier avec une très légère amertume.
Le foie gras - une spécialité de la maison - est d’oie, pour sa finesse et la tradition strasbourgeoise ; car est-il besoin de rappeler que la terrine de foie gras a été inventée en Alsace, par le Maréchal de Contades, il y a tout juste 250 ans ?

Ce foie gras s’accompagne de pain grillé, d’une gelée au gewurztraminer et de quelques asperges vertes mandolinées et très légèrement vinaigrées et fait une parfaite entrée en matière.


Terrine de foie gras et asperges vertes, gelée au gewurztraminer, pain grillé


mercredi 15 mai 2013

Le Parc ****, à l'hôtel, compte rendu épicurien

Toute la famille Wucher, depuis plusieurs générations, est au service du client - particulier en goguette ou professionnel en séminaire - de l’art du mieux-recevoir, et du rayonnement de leur région. Au bord de cette route du vin magnifique, leur hôtel **** est, pour beaucoup d’adeptes du standing et du service international, the place to live in elsass !

Depuis plus de 50 ans, ils pensent à leur métier et à leurs clients à longueur de temps, et on le sent très rapidement une fois entré dans cette grande maison de famille. On est pris en main puis très vite mis dans l’ambiance dès notre arrivée et on sent bien que cet hôtel a du caractère ; et un sacré supplément d’âme… 




Depuis trois générations, ils font une grande confiance aux artistes de la région et cela se repère dès l’accueil où le génial Spindler rehausse de ses marqueteries indémodables un décor résolument moderne et irisé. Que vous veniez grâce à un bon cadeau ou en forfaits spéciaux, du bout du monde ou de celui de la rue, vous trouverez votre compte dans cet hôtel où ils semblent vraiment vouloir exaucer tous nos vœux.  


L’extérieur

Dès notre arrivée, on ressent les larges volumes de cette maison de famille sans cesse embellie et agrandie, on apprécie d’avance l’architecture réjouissante avec ses colombages et ses oriels de toute forme.
On fait le tour de la maison par le jardin en fleurs, pour retomber sur d’autres terrasses, elles aussi décorées et meublées, avec quantité de lieux propices à la décontraction et au badinage.





mardi 14 mai 2013

Le Parc****, mise en bouche



La route des vins d’Alsace est la plus belle du monde, Obernai est un de ses plus remarquables jalons, alors pour les clients de tous horizons, exigeant des hôtels de haut niveau, où la qualité du service  et des installations sont de perpétuelles priorités et où une gastronomie traditionnelle est prodiguée, le Parc****  est alors la meilleure des adresses.